Le Lac - texte métaphorique
Lun 27 Aoû 2018 - 20:08
Petite métaphore de ma vie d'il y a quelques années:
Ombre et lumière tracent le perpétuel mystère et chassent l'identique, mettant le mal et le bien comme hémisphère, dansant comme un ballet de lumière éclairant l'eau paisible du lac endormi.
Un ballet spectaculaire qui anime ce vide où des chemins escarpés se dessines dans l'invisible d'une forêt, noir et sans cri, sans bruit, sans vie...
Là où néant et tristesse sont lots quotidiens et furent fidèles compagnons de l'âme car illusoire de nos méandre apparent. Mais si tu lèves les yeux, le ciel masqué par les feuilles de l'ignorance et de la maladresse provoqueront oublie de l'être, oublie de l'âme, laissant poche creuse.
En sortant de cette boiserie sordide, cette voilerie virevolte toujours, dessinant dans les aires des jeux de liberté, un vent de légèreté, avec une souplesse de fée. Une étoile filante s'illumine à l'orée de la lune rieuse, puis s'estomp le temps d'un soupire. Cette merveille triste m'émeus.
Ses pas le guide le long du petit chemin bordant la rosée du calme.
Et la Virevolte joue de l'âme...
Sur le sentier, une petite souris triste, l'attriste... Écoutant ses déboires, il se prit d'affection pour elle et l'emporta sur son épaule. Bientôt, ils devinrent inséparable.
Au loin, dans la forêt noir, un éclaire gronde et illumine le néant. Puis plus rien.
Et la Virevolte joue de l'âme...
La plaine dégagé de toute noirceur laisse entre voir un coeur de mouvements et douceurs, un coeur qui bat. Des fois, un corbeau s'approche, fait un signe de salut et se retire. S'enfonçant dans la plaine, quelques cerfs majestueux lui tiennent compagnie, puis, s'en vont. En s'éloignant du rivage, les pigments s'estompent, ne laissant apercevoir proche de la falaise qu'ouïs insupportable de caquètements de volailles se déchirant les plumes. Visions irritante, je retourne sur le bord du paisible.
Et la virevolte joue toujours de l'âme...
Mais ma souris n'en voit qu'une faible lueur, je lui souris et ne lui en veut pas.
Assit dans l'herbe, il regarde de l'autre côté de la rive. Un enfant se dessine, lui aussi assis, mais maussade, tenant ses genoux comme rivage, pour dresser un rempart contre le monde... Puis un voile obscure le fit disparaître soudainement dans la nuit. Et sans un souffle, la nuit reprend son cours.
Et la virevolte brille de l'âme...
Une feuille venant d'un lointain, se pose délicatement, creusant dans les contours de l'eau, les courbes de la vie. Au milieu, des formes apparaissent. Passé, présent et avenir se mélange, laissant une profondeur impalpable de l'infini dans les mains du rien.
Et la Virevolte sublime de l'âme....
La souris, surpris de ce qui ce passait ne voyait que d'autre choix que d'abandonner avec tant de compassion et de regret, son compagnon d'infortune. Puis, sans se retourner, fuya les remords dans les hautes herbes. Restant seul, le jeune homme leva les yeux vers cette infini étoilé, caressé par le doux vent de l'esprit serein.
Et la Virevolte sublime étincelante de l'âme...
Une autre courbure vint creuser le paisible. Ce cercle se figea, puis, se transposa en losange, puis en étoile et se maintient en rose des vents. Le temps s'arrêta Une lueur vint du fond de l'abysse, matérialisant lumineusement l'intérieur de cette rose des vents. Intrigué, le garçon se mit sur pieds. La lumière fit soulever l'eau de manière à prendre la forme de l'objet initialement dessiné dans l'élément de l'eau. Et dans un calme et une douceur mortuaire, la forme luminaire prit le garçon tout entier, les bras vers le ciel d'une éclatante beauté. Lors de son ascension, il observa les bords du lac. Ainsi, tous les animaux, Cerfs comme Sangliers, Lapins comme Chouette, étaient présent, regardant s'élever le jeune homme.
Et la souris était là, brillant de l'âme.
L'eau le transportant délicatement jusqu'à la Virevolte, il regarda une dernière fois le monde. Puis, il disparut dans la virevolte qui se mit à rayonner...
Et la Virevolte, de l'âme rayonna de mille cent...
Puis dans un fracas mystique, la Virevolte s'effaça dans une forme sphérique, flambeau de la nuit, et s'éteint, laissant la nuit comme seul tombeau.
Le lac
Ombre et lumière tracent le perpétuel mystère et chassent l'identique, mettant le mal et le bien comme hémisphère, dansant comme un ballet de lumière éclairant l'eau paisible du lac endormi.
Un ballet spectaculaire qui anime ce vide où des chemins escarpés se dessines dans l'invisible d'une forêt, noir et sans cri, sans bruit, sans vie...
Là où néant et tristesse sont lots quotidiens et furent fidèles compagnons de l'âme car illusoire de nos méandre apparent. Mais si tu lèves les yeux, le ciel masqué par les feuilles de l'ignorance et de la maladresse provoqueront oublie de l'être, oublie de l'âme, laissant poche creuse.
En sortant de cette boiserie sordide, cette voilerie virevolte toujours, dessinant dans les aires des jeux de liberté, un vent de légèreté, avec une souplesse de fée. Une étoile filante s'illumine à l'orée de la lune rieuse, puis s'estomp le temps d'un soupire. Cette merveille triste m'émeus.
Ses pas le guide le long du petit chemin bordant la rosée du calme.
Et la Virevolte joue de l'âme...
Sur le sentier, une petite souris triste, l'attriste... Écoutant ses déboires, il se prit d'affection pour elle et l'emporta sur son épaule. Bientôt, ils devinrent inséparable.
Au loin, dans la forêt noir, un éclaire gronde et illumine le néant. Puis plus rien.
Et la Virevolte joue de l'âme...
La plaine dégagé de toute noirceur laisse entre voir un coeur de mouvements et douceurs, un coeur qui bat. Des fois, un corbeau s'approche, fait un signe de salut et se retire. S'enfonçant dans la plaine, quelques cerfs majestueux lui tiennent compagnie, puis, s'en vont. En s'éloignant du rivage, les pigments s'estompent, ne laissant apercevoir proche de la falaise qu'ouïs insupportable de caquètements de volailles se déchirant les plumes. Visions irritante, je retourne sur le bord du paisible.
Et la virevolte joue toujours de l'âme...
Mais ma souris n'en voit qu'une faible lueur, je lui souris et ne lui en veut pas.
Assit dans l'herbe, il regarde de l'autre côté de la rive. Un enfant se dessine, lui aussi assis, mais maussade, tenant ses genoux comme rivage, pour dresser un rempart contre le monde... Puis un voile obscure le fit disparaître soudainement dans la nuit. Et sans un souffle, la nuit reprend son cours.
Et la virevolte brille de l'âme...
Une feuille venant d'un lointain, se pose délicatement, creusant dans les contours de l'eau, les courbes de la vie. Au milieu, des formes apparaissent. Passé, présent et avenir se mélange, laissant une profondeur impalpable de l'infini dans les mains du rien.
Et la Virevolte sublime de l'âme....
La souris, surpris de ce qui ce passait ne voyait que d'autre choix que d'abandonner avec tant de compassion et de regret, son compagnon d'infortune. Puis, sans se retourner, fuya les remords dans les hautes herbes. Restant seul, le jeune homme leva les yeux vers cette infini étoilé, caressé par le doux vent de l'esprit serein.
Et la Virevolte sublime étincelante de l'âme...
Une autre courbure vint creuser le paisible. Ce cercle se figea, puis, se transposa en losange, puis en étoile et se maintient en rose des vents. Le temps s'arrêta Une lueur vint du fond de l'abysse, matérialisant lumineusement l'intérieur de cette rose des vents. Intrigué, le garçon se mit sur pieds. La lumière fit soulever l'eau de manière à prendre la forme de l'objet initialement dessiné dans l'élément de l'eau. Et dans un calme et une douceur mortuaire, la forme luminaire prit le garçon tout entier, les bras vers le ciel d'une éclatante beauté. Lors de son ascension, il observa les bords du lac. Ainsi, tous les animaux, Cerfs comme Sangliers, Lapins comme Chouette, étaient présent, regardant s'élever le jeune homme.
Et la souris était là, brillant de l'âme.
L'eau le transportant délicatement jusqu'à la Virevolte, il regarda une dernière fois le monde. Puis, il disparut dans la virevolte qui se mit à rayonner...
Et la Virevolte, de l'âme rayonna de mille cent...
Puis dans un fracas mystique, la Virevolte s'effaça dans une forme sphérique, flambeau de la nuit, et s'éteint, laissant la nuit comme seul tombeau.
- EXOLe fossileVieux de la vieille / Vieille du VieuxTu es inscrit(e) depuis au moins 1 an sur le forum !DinosaureTu étais inscrit sur Entraide-Youtubers, l'ancêtre d'Entraide-Vidéastes !
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Re: Le Lac - texte métaphorique
Lun 27 Aoû 2018 - 21:31
Virevolte. Un mot que je n'ai jamais utilisé que comme verbe. Et les souris, je ne les croise que sous les ressorts de mes tapettes.
Joli texte, en tout cas.
Joli texte, en tout cas.
Re: Le Lac - texte métaphorique
Lun 27 Aoû 2018 - 22:04
Pour les souris j'imagine, mais la mienne était spéciale ;) pour la virvolte c'était justement l'effet rechercher, de mettre en substantif un verbe qui a une valeur de mouvement ^^
En tout cas merci pour ton petit message ça m'a fait plaisir! =D et au passage je suis content de te revoir par ici tu m'avais manqué petit saligot!
En tout cas merci pour ton petit message ça m'a fait plaisir! =D et au passage je suis content de te revoir par ici tu m'avais manqué petit saligot!
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