- NOPChanEn cure de sevrageVieux de la vieille / Vieille du VieuxTu es inscrit(e) depuis au moins 1 an sur le forum !
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[Critique] Enter the anime
Jeu 21 Nov 2019 - 2:49
Bonjour à tous,
Aujourd'hui et parce que cela faisait un moment que ce reportage traînait dans ma liste des Chosesquejedoisregarderunjourpeut-être, j'ai regardé "Enter the anime", un film proposé par Netflix et présenté par Alex Burunova. Je suis une énorme fan d'animes et de culture japonaise, je me faisais donc une joie d'en apprendre un peu plus sur l'objet de monobsession admiration.
EH BAH JE N'AI PAS ÉTÉ DÉÇUE.
Enfin, si.
Dès les premières images du reportage, Alex Burunova que je ne connais pas autrement que par ce film, avoue qu'elle ne connaît rien, mais alors RIEN, rien de rien en animes. Elle est visiblement d'origine américaine, et sans vouloir l'excuser, il ne s'agit pas du pays le plus friand de mangas et animes, même si le manga aux USA s'impose une petite part de marché tranquille. Sûrement motivée par la plateforme Netflix qui lui a commandé le reportage - je spécule, mais je ne vois pas comment cette femme se serait levée un matin en se disant "Tiens, je m'en care complètement la raie des animes, mais si je faisais un reportage ?" - la jeune femme va donc mener sa petite enquête pour répondre à la question suivante : "Qu'est-ce qu'un anime ?"
Très vite, les limites du reportage saillissent comme les contours d'un guet-apens bien rôdé : le reportage ne fait qu'aborder en surface la question de l'anime. Comment réalise-t-on un épisode d'anime ? Comment un anime est-il doublé ? Quelles sont les différentes étapes de la réalisation de l'anime, du story-board au montage et à la post-production ? Autant vous dire qu'on s'en fout, nous ce qui nous intéresse c'est de savoir QUI a réalisé les animes qu'on trouve sur Netflix et exclusivement sur Netflix (Soit quoi, une dizaine de programmes "originaux" ?) et quels sont les lieux où ils trouvent leur inspiration (À savoir pour la plupart des réalisateurs : dans la douche, ne me demandez pas pourquoi.)
J'ai d'ailleurs un sacré problème avec le premier "anime" présenté : il s'agit de Castlevania (2017) série pour adultes réalisée par Adi Shankar, une série d'origine américaine bien que basée sur le jeu vidéo éponyme japonais.
Pour moi, Castlevania, même si la série s'inspire indéniablement du genre de l'anime, N'EST PAS un anime. Et Wikipédia corrobore ma version en nous offrant cette définition : "un anime désigne un film d'animation ou une série d'animation en provenance du Japon." Je ne l'ai pas vue et c'est peut-être une très bonne série d'animation, mais ce n'est en aucun cas un anime de par sa provenance des US. Tout comme la série Wakfu, ou la série Martin Mystère, ce ne sont pas des animes si qualitative soit l'animation. Bref.
D'ailleurs le reportage ne rend pas vraiment hommage à Adi Shankar, que je ne connaissais pas avant ça, mais qui est juste présenté comme un indien gothico-look alike avec du noir sous les yeux. À un moment du reportage on l'interroge même sur son chien, un bichon frisé, en lui faisant remarquer que la race n'est pas très raccord avec le look du maître. Et puis c'est tout, Adi Shankar, réalisateur d'une série d'animation, donc sûrement calé dans le domaine de l'animation, n'est qu'un nerd gothique avec un chien de mémère.
La deuxième partie du reportage se passe au Japon, et là même traitement : "Oh regardez, le Japon et ses diversités culturelles ! Voici une authentique lolita, et une gothico-lolita, et une gothique, et une lolita-gothico-steampunk..." et la phrase la plus ridicule que j'aie entendue : "La diversité de l'anime se retrouve dans la diversité de la cuisine japonaise." Il n'y avait pas mieux comme transition pour aborder la bouffe ? Si tu veux parler bouffe Alex Burunova, rien ne t'en empêche, mais cesse donc de te raccrocher aux branches en faisant un lieu foireux entre l'anime et la bouffe.
Parce que bon, à part dans mon habitude de manger mes pâtes au beurre devant un épisode de Boku no hero academia, je ne vois pas où trouver un rapport concret entre la nourriture japonaise et l'anime. À part qu'ils sont tous deux issus du Japon ?
Note aussi cette phrase mythique : "On utilise beaucoup plus de papier au Japon pour l'impression de mangas que pour la confection de papier toilette." Cela va sans dire, puisque les Japonais n'utilisent pas notre traditionnel PQ pour s'essuyer leur postérieur.
Par la suite et pour le fan service, on entrevoit le temps de quelques minutes la chanteuse à l'origine de "A Cruel Angel's Thesis", Yoko Takahashi, pour illustrer le propos "Les Japonais sont férus de musique". Ouais. J'ai envie de dire comme chaque peuple sur cette sainte planète.
Le reste du reportage présente quelques réalisateurs, comme je l'ai dit pour la plupart de contenus estampillés "Netflix" : on a droit donc à Castlevania qui n'est pas un vrai anime, puis BAKI, où on apprend que les réalisateurs ont croisé Arnold Schwarzenegger une fois, ce que ça me fait une belle jambe, puis Aggretsuko, puis Saint Seiya (Version 3D 2019, faut pas déconner), puis Rilakkuma, puis B the beginning puis enfin, cerise sur le cupcake, 7 SEEDS, sans doute le PIRE anime que j'ai vu ces derniers mois (Très très mauvaise animation des personnages avec un scénario retravaillé à la sauce Netflix pour gommer un peu l'aspect Shôjo du manga originel.)
Exit les films d'animations d'Hayao Miyazaki ou de Makoto Shinkai, exit One Piece, exit tous les valeureux shônen ou seinen qui ont connu leur succès ces dernières années, exit même la culture nippone, j'en ai autant appris en une heure de film sur le Japon que dans le VLOG de Logan Paul.
Au final, ce reportage qui se veut bienveillant porte un regard presque condescendant à la culture japonaise et au sujet central, l'anime, comme s'il avait été mené par un snobinard qui se demande bien "qu'est-ce que c'est que cette nouvelle mode des pikachus et des mangas débiles." Il ne rend d'ailleurs pas honneur non plus aux consommateurs d'animes, qui auraient (et j'en fais partie) préféré avoir un véritable approfondissement de la thématique, et Dieu sait que l'univers de l'animation japonaise est vaste. Et surtout, il ne s'agit au final que d'une sorte de vitrine Netflix où la plateforme se lance quelques fleurs à propos de ses contenus d'animation, le reportage se terminant tout de même avec la mention "Tous les animes présentés dans ce reportage sont disponibles en intégralité sur Netflix." VIENDEZ VOIR, NOUS NE SOMMES PAS HOSTILES A LA JAPAN CULTURE, VOUS VOYEZ, NOUS SPONSORISONS 6 ANIMES.
Voilà voilà, c'était ma réaction à chaud sur le reportage que je ne vous conseille pas "Enter the anime", qui est très justement noté 2/5 sur Betaseries. :)
Aujourd'hui et parce que cela faisait un moment que ce reportage traînait dans ma liste des Chosesquejedoisregarderunjourpeut-être, j'ai regardé "Enter the anime", un film proposé par Netflix et présenté par Alex Burunova. Je suis une énorme fan d'animes et de culture japonaise, je me faisais donc une joie d'en apprendre un peu plus sur l'objet de mon
EH BAH JE N'AI PAS ÉTÉ DÉÇUE.
Enfin, si.
Dès les premières images du reportage, Alex Burunova que je ne connais pas autrement que par ce film, avoue qu'elle ne connaît rien, mais alors RIEN, rien de rien en animes. Elle est visiblement d'origine américaine, et sans vouloir l'excuser, il ne s'agit pas du pays le plus friand de mangas et animes, même si le manga aux USA s'impose une petite part de marché tranquille. Sûrement motivée par la plateforme Netflix qui lui a commandé le reportage - je spécule, mais je ne vois pas comment cette femme se serait levée un matin en se disant "Tiens, je m'en care complètement la raie des animes, mais si je faisais un reportage ?" - la jeune femme va donc mener sa petite enquête pour répondre à la question suivante : "Qu'est-ce qu'un anime ?"
Très vite, les limites du reportage saillissent comme les contours d'un guet-apens bien rôdé : le reportage ne fait qu'aborder en surface la question de l'anime. Comment réalise-t-on un épisode d'anime ? Comment un anime est-il doublé ? Quelles sont les différentes étapes de la réalisation de l'anime, du story-board au montage et à la post-production ? Autant vous dire qu'on s'en fout, nous ce qui nous intéresse c'est de savoir QUI a réalisé les animes qu'on trouve sur Netflix et exclusivement sur Netflix (Soit quoi, une dizaine de programmes "originaux" ?) et quels sont les lieux où ils trouvent leur inspiration (À savoir pour la plupart des réalisateurs : dans la douche, ne me demandez pas pourquoi.)
J'ai d'ailleurs un sacré problème avec le premier "anime" présenté : il s'agit de Castlevania (2017) série pour adultes réalisée par Adi Shankar, une série d'origine américaine bien que basée sur le jeu vidéo éponyme japonais.
Pour moi, Castlevania, même si la série s'inspire indéniablement du genre de l'anime, N'EST PAS un anime. Et Wikipédia corrobore ma version en nous offrant cette définition : "un anime désigne un film d'animation ou une série d'animation en provenance du Japon." Je ne l'ai pas vue et c'est peut-être une très bonne série d'animation, mais ce n'est en aucun cas un anime de par sa provenance des US. Tout comme la série Wakfu, ou la série Martin Mystère, ce ne sont pas des animes si qualitative soit l'animation. Bref.
D'ailleurs le reportage ne rend pas vraiment hommage à Adi Shankar, que je ne connaissais pas avant ça, mais qui est juste présenté comme un indien gothico-look alike avec du noir sous les yeux. À un moment du reportage on l'interroge même sur son chien, un bichon frisé, en lui faisant remarquer que la race n'est pas très raccord avec le look du maître. Et puis c'est tout, Adi Shankar, réalisateur d'une série d'animation, donc sûrement calé dans le domaine de l'animation, n'est qu'un nerd gothique avec un chien de mémère.
La deuxième partie du reportage se passe au Japon, et là même traitement : "Oh regardez, le Japon et ses diversités culturelles ! Voici une authentique lolita, et une gothico-lolita, et une gothique, et une lolita-gothico-steampunk..." et la phrase la plus ridicule que j'aie entendue : "La diversité de l'anime se retrouve dans la diversité de la cuisine japonaise." Il n'y avait pas mieux comme transition pour aborder la bouffe ? Si tu veux parler bouffe Alex Burunova, rien ne t'en empêche, mais cesse donc de te raccrocher aux branches en faisant un lieu foireux entre l'anime et la bouffe.
Parce que bon, à part dans mon habitude de manger mes pâtes au beurre devant un épisode de Boku no hero academia, je ne vois pas où trouver un rapport concret entre la nourriture japonaise et l'anime. À part qu'ils sont tous deux issus du Japon ?
Note aussi cette phrase mythique : "On utilise beaucoup plus de papier au Japon pour l'impression de mangas que pour la confection de papier toilette." Cela va sans dire, puisque les Japonais n'utilisent pas notre traditionnel PQ pour s'essuyer leur postérieur.
Par la suite et pour le fan service, on entrevoit le temps de quelques minutes la chanteuse à l'origine de "A Cruel Angel's Thesis", Yoko Takahashi, pour illustrer le propos "Les Japonais sont férus de musique". Ouais. J'ai envie de dire comme chaque peuple sur cette sainte planète.
Le reste du reportage présente quelques réalisateurs, comme je l'ai dit pour la plupart de contenus estampillés "Netflix" : on a droit donc à Castlevania qui n'est pas un vrai anime, puis BAKI, où on apprend que les réalisateurs ont croisé Arnold Schwarzenegger une fois, ce que ça me fait une belle jambe, puis Aggretsuko, puis Saint Seiya (Version 3D 2019, faut pas déconner), puis Rilakkuma, puis B the beginning puis enfin, cerise sur le cupcake, 7 SEEDS, sans doute le PIRE anime que j'ai vu ces derniers mois (Très très mauvaise animation des personnages avec un scénario retravaillé à la sauce Netflix pour gommer un peu l'aspect Shôjo du manga originel.)
Exit les films d'animations d'Hayao Miyazaki ou de Makoto Shinkai, exit One Piece, exit tous les valeureux shônen ou seinen qui ont connu leur succès ces dernières années, exit même la culture nippone, j'en ai autant appris en une heure de film sur le Japon que dans le VLOG de Logan Paul.
Au final, ce reportage qui se veut bienveillant porte un regard presque condescendant à la culture japonaise et au sujet central, l'anime, comme s'il avait été mené par un snobinard qui se demande bien "qu'est-ce que c'est que cette nouvelle mode des pikachus et des mangas débiles." Il ne rend d'ailleurs pas honneur non plus aux consommateurs d'animes, qui auraient (et j'en fais partie) préféré avoir un véritable approfondissement de la thématique, et Dieu sait que l'univers de l'animation japonaise est vaste. Et surtout, il ne s'agit au final que d'une sorte de vitrine Netflix où la plateforme se lance quelques fleurs à propos de ses contenus d'animation, le reportage se terminant tout de même avec la mention "Tous les animes présentés dans ce reportage sont disponibles en intégralité sur Netflix." VIENDEZ VOIR, NOUS NE SOMMES PAS HOSTILES A LA JAPAN CULTURE, VOUS VOYEZ, NOUS SPONSORISONS 6 ANIMES.
Voilà voilà, c'était ma réaction à chaud sur le reportage que je ne vous conseille pas "Enter the anime", qui est très justement noté 2/5 sur Betaseries. :)
- DreddyAu billot !Vieux de la vieille / Vieille du VieuxTu es inscrit(e) depuis au moins 1 an sur le forum !ADMIN !Badge très rare attribué aux trois tyrans de ce forum !DinosaureTu étais inscrit sur Entraide-Youtubers, l'ancêtre d'Entraide-Vidéastes !
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Re: [Critique] Enter the anime
Jeu 21 Nov 2019 - 8:39
Ah ouais c’est chaud quand même...
Quand tu fais un reportage, tu t’informes un maximum sur le sujet, tu lis des articles pour ne pas passer pour un con !
J’ai ressenti énormément de déception dans ta critique du reportage, j’ai d’ailleurs été étonné de ta note de 2/5, après tout ce que tu en as vu, je pensais que tu n’allais pas dépasser le 1 ^^
Une heure de perdue en tout cas ^^
Quand tu fais un reportage, tu t’informes un maximum sur le sujet, tu lis des articles pour ne pas passer pour un con !
J’ai ressenti énormément de déception dans ta critique du reportage, j’ai d’ailleurs été étonné de ta note de 2/5, après tout ce que tu en as vu, je pensais que tu n’allais pas dépasser le 1 ^^
Une heure de perdue en tout cas ^^
- NOPChanEn cure de sevrageVieux de la vieille / Vieille du VieuxTu es inscrit(e) depuis au moins 1 an sur le forum !
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Re: [Critique] Enter the anime
Jeu 21 Nov 2019 - 17:21
Ah oui j'ai été complètement déçue, je ne m'attendais pas à voir autant de clichés et de dédain au cours d'un reportage. Je pensais plutôt apprendre des choses sur la réalisation des animes, ce que suggérait le titre au final. Et surtout ne pas juste voir citées des séries "originales" Netflix. Ce qui est proposé sur Netflix ce n'est même pas 1/10ème de ce qui est produit au Japon.
Et encore que la réalisatrice du reportage n'y connaisse rien en anime, ce n'est pas le problème, mais c'est surtout qu'elle traite le sujet en surface et qu'elle effectue quand même un voyage au Japon pour juste se cantonner à ses idées reçues sur ce qu'est un anime et le retentissement qu'il peut avoir dans la culture japonaise. C'est exactement comme se rendre au Japon en pensant que les Japonais se nourrissent exclusivement de sushis, avoir des preuves concrètes que la cuisine nippone est diverse et variée, et repartir chez soi en concluant "Les Japonais ne mangent que des sushis."
D'ailleurs, le reportage conclue par la phrase suivante que je trouve arrogante au possible : "L'anime est créé par des marginaux pour d'autres marginaux."
Marginaux par rapport à quoi, les normes US ?
La note de 2/5 c'est la note qui a été attribuée par une centaine de spectateurs sur Betaseries, pas juste la mienne. ^^
Et encore que la réalisatrice du reportage n'y connaisse rien en anime, ce n'est pas le problème, mais c'est surtout qu'elle traite le sujet en surface et qu'elle effectue quand même un voyage au Japon pour juste se cantonner à ses idées reçues sur ce qu'est un anime et le retentissement qu'il peut avoir dans la culture japonaise. C'est exactement comme se rendre au Japon en pensant que les Japonais se nourrissent exclusivement de sushis, avoir des preuves concrètes que la cuisine nippone est diverse et variée, et repartir chez soi en concluant "Les Japonais ne mangent que des sushis."
D'ailleurs, le reportage conclue par la phrase suivante que je trouve arrogante au possible : "L'anime est créé par des marginaux pour d'autres marginaux."
Marginaux par rapport à quoi, les normes US ?
La note de 2/5 c'est la note qui a été attribuée par une centaine de spectateurs sur Betaseries, pas juste la mienne. ^^
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Re: [Critique] Enter the anime
Jeu 21 Nov 2019 - 18:34
NOPChan a écrit:Ah oui j'ai été complètement déçue, je ne m'attendais pas à voir autant de clichés et de dédain au cours d'un reportage. Je pensais plutôt apprendre des choses sur la réalisation des animes, ce que suggérait le titre au final. Et surtout ne pas juste voir citées des séries "originales" Netflix. Ce qui est proposé sur Netflix ce n'est même pas 1/10ème de ce qui est produit au Japon.
Et encore que la réalisatrice du reportage n'y connaisse rien en anime, ce n'est pas le problème, mais c'est surtout qu'elle traite le sujet en surface et qu'elle effectue quand même un voyage au Japon pour juste se cantonner à ses idées reçues sur ce qu'est un anime et le retentissement qu'il peut avoir dans la culture japonaise. C'est exactement comme se rendre au Japon en pensant que les Japonais se nourrissent exclusivement de sushis, avoir des preuves concrètes que la cuisine nippone est diverse et variée, et repartir chez soi en concluant "Les Japonais ne mangent que des sushis."
D'ailleurs, le reportage conclue par la phrase suivante que je trouve arrogante au possible : "L'anime est créé par des marginaux pour d'autres marginaux."
Marginaux par rapport à quoi, les normes US ?
La note de 2/5 c'est la note qui a été attribuée par une centaine de spectateurs sur Betaseries, pas juste la mienne. ^^
Oui, mais tu vois, la première règle dans l'audiovisuel, c'est d'en connaître autant que quelqu'un de féru quand tu fais un reportage ou un documentaire. Pour recueillir des points de vue intéressants, il faut poser des questions pertinentes, et pour ça, il faut en connaître un maximum...
Donc ce reportage n'a pas été fait par quelqu'un de professionnel.
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