Le Journal d'Adrien Hutner
Sam 15 Sep 2018 - 21:56
Je vous présente une petite histoire que j'avais commencé à écrire issue d'un rêve que j'avais fait il y a longtemps. Tu sais le genre de rêve qui, quand tu te réveilles tu dis "WOUAAAAAAAA, putain c'était un truc de ouf!!!!" C'était un rêve plutôt orienté SF et pas avec autant de détails, mais j'étais déter à en créer une histoire complète, puis avec le temps, je l'ai abandonné...
Bonne lecture :
2125.
21 Mars.
22h49.
Première offensive de l'armée Azurienne. L'attaque a eu lieu après les déclarations du chancelier John Carlton, il y'a environ une semaine. Sa déclaration a créée nombre d'émeutes dans la ville. Aphasia n'est plus que ruine et délabrement. Les rebelles ont tous dévasté. Après environ trois ans de complots ils ont finis par passer à l'action. Leur armement était puissant et personne ne sait d'où ils sortent cette arsenal... Des bruits cours que les forces de l'ordre seraient de mèche pour faire sauter le gouvernement et faire plonger la 19e république. Celle en quoi nous avons peut être crus apercevoir un semblant de paix, de sérénité, que la guerre se termine... Aucun résultat... on dit que l'histoire se répété toujours deux fois. Je pense que maintenant on peut compter les guerres par dizaines de milliers pour environ cent ans...
Jusqu'à la fin des prochains événements j'écrirai. Il faut que l'histoire sache, que l'on garde une trace de ce qui a déchiré le continent Mordahk, ex continent Eurasiatique engloutie par le fonte des glaces jusqu'à la Croatie. Ou du moins ce qu'il en reste... J'écrirai mon journal et tiendrai a jour ses informations.
Je m'appelle Adrien Hutner. Née lors de la guerre d'indépendance de l'ancienne Slovénie il y a 17ans, j'appartiens à la famille des Hutners. Mon père, Générale de l'escadron des forges de l'armé Azurienne commande un escadron de 15 Mechas. Une sorte de robot humanoïde de 10m 75 pesant environ 75 tonnes créé par le gouvernement pour protéger le peuple en cas d'attaque des rebelles. Ma mère et ma sœur étant bloquées dans les dédales usées des bâtiments de l'armées, prient tous les jours notre seigneur...
Bloqué dans cette base militaire depuis le début des émeutes, je tourne en rond en voyant ce qui se passe à l’extérieure de ces murs. Le ravitaillement en nourriture, eau potable, armement et loisirs, a du mal à s'acheminer jusqu'aux bâtiments. Les rebelles ont intercepter deux de nos cargaisons sur le convois de six camions qui venaient de la base de Shalre. Et comme si une pénurie de nourriture n'était pas suffisant, deux des dix-neuf générateurs de la base ont explosés mettant sous silence le quartier des recherches technologiques ainsi que le dortoir des soldats. Les ingénieurs disent qu'il ne sera pas réparé avant l'arriver du matérielle. Autant dire que le soir, les bougies sont de mises...
Qu'est ce que je fais la? Je ne sais pas trop... J'étudiais la biométrie en physique quantique avant que tous ne se déclencha. Mon père nous a rapatriés pour nous protéger des mouvements extrémistes et nous a dit que dans peu de temps, des affrontements se feront ressentir. Je crois que c'est aujourd'hui. Nuit et jour, nous entendons des bruits de mitrailles, de laser, d'explosions, de cris déchirants les silences, des cris d'hommes affrontant les morts, touchant la douleurs de si près que leur agonis en est indescriptible. Ces cris, ceux qui font froid dans le dos, ceux qui peuvent appartenir à un proche, ami, famille, inconnus, nul ne peut le savoir... Tous c'était calmé deux jours auparavant, mais apparentement les rebelles aurait l'intention de faire sauter le consulat et de capturer les embassadeurs encore présents situés dans la base Est d'Aphasia. J'ai croisé le sergent Soliof, très pressé, qui m'a expliqué que les troupes avait était envoyées pour déjouer les plans des rebelles. Un petit effectif pour une mission en toute discretion: 100 soldats 5 Troteurs, 2 Chars à Plasmas et 4 DCA mobiles.
Je n'ai pas réussi à lui soutirer plus d'informations, car étant attendu à l'Etat major il a fini par partir avec la navette. Il m'a dit que ça n'avait pas était un tel merdier depuis la découverte des Atiliens en 2085 dans les mers du pacifique... Il n'a pas totalement tord. Connaissant la race humaine, le fait de savoir qu'une autre espèce intelligente vivant dans les profondeurs sous marines du pacifique depuis des milliards d'années, étudiant le moindre fait et geste humain, la moindre parcelle de science, même le plus petit soupçon de l'anatomie humain, la culture, les habitudes, les évolution qu'elle a put subir, a créé un certain nombre de conflits politiques, créant de nombreux massacres majoritairement Humains . Les Atiliens connaissaient notre armement mieux que nous même, ainsi que le moindre de nos défaut. Pendant 9 mois ce fut une guerre atroce, ou plutôt un génocide qui se terra par une période de froid de 2 ans, puis d'un accord permettant la paix et l'entente entre les deux peuples. Depuis nous bénéficions d'une aide intellectuelle, technologique et politique considérable. De nombreux événements se sont déroulés au fils des années mettant en cause les Atiliens comme étant la source de problèmes actuelles. Les rebelles refusent de les accepter comme Terriens et cherchent l'expulsions voir l'éradication par la violence... Ayant passé un accord de paix, nous devons protection au Atiliens. Même si ils pouvaient se défendre seul et rétablir l'ordre, ils préfèrent ne pas s’immiscer dans notre politique et agir en cas de nécessite extrême. Pour l'instant, l'Etat major gère la situation comme il le peut, mais on sent que c'est vraiment l’anarchie dehors et qu'il n'arrive pas à gérer tout en même temps. D'après les informateurs que l'armé a pus récupérer, nous savons que les rebelles se sont disséminés dans toute la ville en petit camp souterrain et dans certain bâtiment protéger. Mais personne n'a pu les localiser et les informations coûtes de plus en plus chère en nos temps.
Ces événements me foutes la trouille. J'ai peur... Peur pour ma famille, peur pour moi et de ce qui pourrait m'arriver même derrière ces murs, peur pour mes proches de l'autre côté, peur de l'avenir... Mais que voulez-vous, nous ne sommes maître de rien qu'en au hasard... Quoi qu'il arrive, je devrais rester saint de corps et d’esprit, si ce n'est pas pour moi, au moins pour mon entourage. On est tous dans la même merde et si on ne soutiens pas, c'est la fin de nos minables existences...
Hutner Adrien
00h35
22 Mars
21h00
Aujourd'hui, une fois de plus, ma journée fut vide. Ce vide qui montre que ce n'est pas seulement extérieur mais bien plus profond encore. A part avoir mangé seul, avoir marché dans les jardins synthétiques, traînant mon ombre dans le seul coin aménagé pour la détente des habitants, néant. Pas de visage famillié, et quand c'est le cas, je n'existe pas. J'ai pris un peu de mon temps libre qui est assez conséquent, pour relire mes cours de biochimies pour ne pas perdre la main et surtout pour m'occuper l'esprit...
Depuis le début je suis le seul à ne rien faire et à tourner en rond dans la base... Le fait de rester seul m’incite à réfléchir, à m'inquiéter, à m’angoisser des événements passés et avenir. Je m'en veux de me sentir inutile, je croise des gens pressés et occupés, qui n'ont pas le temps de m'expliquer ce qu'il se passe ou ce qu'ils font... Même ma mère qui s'occupe des réparations du matériel de défense et de la mécanique des véhicules de transport et d'assaut, marchait à droite, à gauche, les cheveux dans tous les sens, le visage noirci par le cambouis, et n'a même pas pris la peine de faire attention à moi... Et plus les jours passe, plus je trouve ça long... Sachant que je ne vois quasiment personne de ma famille, d'amis, du moins pour parler un peu, se changer les esprits...
Je ne vois que des fonctionnaires, des gens du peuple, des inconnus qui eux non plus ne prêtes guère attention à ma personne... De plus étant dans le dortoirs des soldats, le générateur n'est toujours pas réparer et à l'heure qu'il est cette ambiance commence à me peser fortement... Imaginez, une pièce de 12 mètres carrés avec au fond de celle si, un lit à ressort sur lequel est disposé un matelas usé par la vieillerie. Rajoutez ensuite une armoire métallique rouillée à gauche de l'entré et à droite, un bureau en bois à coté duquel est situé une chaise en acier vert très inconfortable. Mettez y des tuyaux couleurs bronze un peu humides dépassant du plafond et des murs dont la peinture écaillé par cette humidité reflète la cellule d'un prisonnier. Plongez tous ça dans le noir, puis allumez une légère lumière rouge émie part l’ampoule d'alerte en cas d'urgence, pour éclairer autant que possible le temps de trouver une solution pour le générateur. Puis observez une lumière jaunâtre d'une bougie protégé entre quatre verres, virevoltante sous le souffle de mon corps, seul, assis là, un peu perdu par tous ça... et quand on sort, un très long couloirs qui s'étend sur 200 mètres et sur 3 étages longe les dortoirs, tous aussi identiques les uns que les autres. Vous avez une bonne description de l'ensemble des dortoirs des membres de la chaire à canon.
Quelques uns comme moi, n'étant pas soldats, se sont retrouver ici car les dortoirs dans le quartier civile sont totalement complets. Et avec les quelques pertes dut au début des représailles contre les Rebelles, certains dortoirs se sont libérer au détriment du sort de ces pauvres soldats envoyés au charbon... et se dire que je dors là où un parfait inconnu à verser le sang pour une cause qu'il ne comprend pas lui même me file la nausée! Ces hommes ont le courages d’exécuter avec bravoure leur devoirs de soldats, encaissant la peur et passant les objectifs avant leur propre survie...
Quelque part je trouve ça admirable! Mais je me demande vraiment comment peuvent t-il gérer leur mal être au sein de la base avec le stress et l'adrénaline du combat... Car ici, quand ils ne sont pas en mission, ces hommes ne sont que l'ombre d'eux même, attendant les instructions, là dans leur loge de premier choix, jouant au carte, au poker, au crabse. Quand on les regarde, on peut voir leur visage mal rasé, leur cheveux assez sales, le regard noir... Généralement ce sont des personnes qui se sont engagées car elle n'avait plus rien à perdre, famille, amis, logement... Des jeunes de 20 ans
23 Mars.
17h03
Les ravitaillements ne semblent toujours pas arriver... L'eau de source commence à diminué dangereusement et les quelques quatre mille personnes réfugiées dans la base vont bientôt en être privé... Heureusement qu'il nous reste encore l'eau du fond de l'ancienne déchetterie désaffecter, cette eau n'est pas potable mais elle sert pour les systèmes de douches, de toilettes, pour la vaisselles, sans ça, la base deviendrait la même décheterie que celle dont elle tire son eau...
D’ailleurs à ce sujet, j'ai mangé avec Prado, mon ami d'enfance qui s'est engagé comme chaire à canon pour le gouvernement. Il en faut c'est sur, dommage que lui se soit porté volontaire... Bref lors de son arrivé à la table, il tenait dans ses mains, tant bien que mal, un espèce de mini baril en plastique de 10 littres qui avait l'air de contenir de l'eau. Curieux je me suis renseigné sur ce centenaire remplie de liquide, ça réponse fu rapide claire et efficace: "je ne veux pas mourir de soif pardis!". Pensant qu'il l'avait pris dans la réserve, j'étais un peu surpris de le voir voler de l'eau sans autorisation, mais il m'expliqua que ce n'est pas de l'eau potable, cette barrique va partir dans les cuisines pour faire bouillir les 10 litres d'eau. Même si en faisant chauffer l'eau très fort, toute les bactéries ne partiraient pas, mais au moins cela ferait disparaître les plus dangereuses, et nous faira tenir le temps que les chargements arrives.
En discutant il m'a appris que Marta Sprenger, qui était étudiante au lycée avec nous au lycée St-Bartélemy est actuellement dans la base comme secrétaire. Un comble pour quelqu'un qui n'aimait pas le rangement... d’ailleurs en marchand vite elle a trébuché et s'est étalé de tout son long sur le sol renversant tout les dossiers présents dans ses bras et attérissant à ses pieds... C'est comme ça que Prado m'a décrit les retrouvailles avec Marta. Plutôt amusante comme retrouvaille. D'ailleurs il m'a expliqué qu'elle est passée à la limite de la sanction devant la cours martiale dés son premier jours de boulot, fournissant des dossiers non complets et dont les documents perdus étaient top secret... Apparemment elle n'a pas changer d'un pouce, toujours tête en l'air! J'espère que cela ne lui portera pas préjudice par la suite...J'aimerais bien la revoir...
On était une belle bande de jeunes, elle, Prado, Nicko, Eli et moi, vous savez, ce genre de bande soudée où on se sert les coudes, cette dream team toujours prête à faire les quatre cents coups... Mes plus belles années... Je me demande ce que sont devenus Elianne et Nickolas? Ils ont toujours été un peu en marge du système et du jour au lendemain, ont disparus de la surface du globe sans laisser de trace. Aucun mot, aucune lettre d'adieu, rien. De toute façon je ne m'en fait pas pour eux, je sais qu'ils sont à même de se débrouiller dans quelques situations que ce soit... Je me souviens d'une fois où l'on été partis en camping dans l'arrière pays polonais, la où il reste quelques parcelles de terre qui n'ont pas été touchées par la guerre et dont le cadre était fulgurant! Sur un domaine rocheux surplombant la gigantesque forêt de sécoyats d'Hêtres et de Sapins, où des oiseaux et des animaux intrigués par notre présence se cachés, nous avions installé notre campement. Pendant que Prado et moi avions tenté tant bien que mal de planter notre tente, Eli avait déjà fini l’installation, était partis chercher du bois pendant que Nicko était partie poser les pièges pour pouvoirs se nourrir... En y repensant nous avions l'aire bête avec notre tente cloué de travers! On c'est toujours demander Prado et moi où avait-il apprit toute ces choses et surtout, pourquoi il n'ont jamais voulu qu'on ramène de la nourriture de chez nous... Aucune réponse claire de leurs part fut donnée, juste un "Nos parents nous faisaient faire du camping depuis tout petit". Je n'ai jamais compris pourquoi les parents leur "faisaient faire", n'étaient ils pas avec eux pour faire ça? J'avoue que je n'ai jamais osé leurs demander par respect pour leurs secret. Car eux deux était plus complices qu'avec nous, mais cela empêché en rien d'être très bon amis.
Toujours est-il que ils s'en sortiront, même si ce petit doute, "et si?", m'oblige à penser qu'ils seraient plus en sécurité entre ces murs gris, sur-bétonné et surprotégé. De toute façon ce n'est plus de mon ressort. Et puis les connaissant, ils n'auraient jamais supportés cette endroit, cloître, enfermé entre quatre murs grisâtres noircis par la pollution permanente qui émane des machines, le bruit, le va et viens permanent des soldats, des scientifiques, des hauts fonctionnaires, où encore des gens du peuple ayant était recueillit...
Oppressant tout ça! Il est vrai que lors de la construction de la base, il n'avait pas pris en compte le cadre qui pourrait être plus agrèable, la déco est minimaliste, le tout dans une sombreté à en toucher le moral de la population intèrieure. Le visage de ceux que l'on croise sont mauroses, sombre, le taint grave et pour certains aillant subit les malheurs des évènements, le visage pâle et le regard vide..
27 Mars.
14h30
Hier rien de notable. Les troupes se sont déplacées comme prévus en 10 aines de petites escouades se repartissants sur les différentes places et les différents quartiers de la ville. Il se sont installés en point stratégiques de renseignement. Il parraitrait que des civiles logent encore dans les ruines Centre et Est. Ils n'ont vouluent aucune aide et préfère rester chez eux. Leur âme ont vécue et restera à jamais dans ces lieux. Qu'importe, les soldats on fait leur boulot. Nous n'avons rien à leur reprocher.
Des mouvements ont étés apèrçus près de l'eglise St-Morianne située au centre Ouest de la ville, entre le quartier des affaires et l'observatoire. Deux des dix escouades se sont déplacer mais n'ont rien trouvées... Pourtant d'après les renseignements qu'ont ramené les drônes de reconnaissancent, le coin a l'air de cacher quelque chose mais pour l'instant rien d'apparrent. Ou alors l'Etat Major nous cache la vérité... Bref dans tout les cas pour une offensive, tout a l'aire de se passer comme prévu.
"Elle"... Qu'est-elle devenue? De l'autre côté de ces murs, happé par les mouvements de foules, le SPPCR (Service de Protection des Personnes Contres les Rebelles) n'a pas eu le temps de la récupérer... En dix minutes ils avaient perdu sa trace et ont préférés retourner au QG plutôt que d'affronter la masse humaine compacte qui mouvait dans tout les sens complètement désorienté par les attentats. Aucune nouvelle depuis. Est-elle vivante? Où est-elle? A-t-elle trouvé de l'aide? Seul dieu sait si elle va bien. L’inquiétude me gagne et me ronge, car les certitudes sont absentes et que les preuves manques... Alors je reste dans le doute et attend. De toute façon, pour l'instant, je ne peux pas faire grand chose, si ce n'est patienter. Alors je patienterai...
Hier soir en me promenant, j'ai croisé ma sœur, engagé à l'arrivé dans la base pour ses talents d’informaticienne. Les Atiliens qui travailles au secteur informatique ont eu vent de ses capacités et ont besoins de personnes ayant l’intelligence nécessaire à leur besoins. Apparemment elle n'a pas eu le temps de s'ennuyer pendant que moi je tournais en rond. Mais apparemment elle m'aurait trouvé du boulot! Lorsque les deux générateurs sont tombés en pannes, le système a déréglé les accès à protections renforcés, et ma sœur et moi sommes chargés de tout remettre en ordre. Elle, doit s'occuper de récupérer tout les codes d’accès perdus et des les modifier, et moi j'ai pour missions de chiffrer ces codes et rétablir toute les donnés des personnes ayant des accès réservés afin de restaurer toutes les reconnaissances digitales et rétiniennes. Rien que ça! Apparemment je commence demain. Donc je ne vais plus avoir le temps de m'ennuyer...
Enfin tout ça est terminé!
A l’extérieur de ma loge, il y a l'air d'avoir du mouvement... je ne sais pas trop ce qui ce passe mais les gens cours et parle fort... je vais jeter un coup d'oeil!
15h12
Même jour.
19h02.
Les supérieurs sont devenus fou, nos deux escouades partis en éclaireurs près de l'église St-Morianne ont été quasi entièrement décimées, Sur 20 soldats et 1 trotteur, il ne reste plus que 5 survivants dont 2 sont blessés gravement, l'un a été perforé à l'abdomen et l'autre a reçu un éclat de grenade dans la jambe droite. Les médecins se sont empressés de les soigner pendant que les supérieurs tenter de récolter les informations sur ce qu'il avait bien pus se passé. En effet, l'Etat major était en contacte permanent jusqu'à ce qu'une explosion coupa déffinitivement toute liaison avec les deux troupes. Je n'ai pas pu assister a l’interne mais j'ai attraper le sergent chargé de les interroger, il m'a expliqué que les deux troupes étaient réunis à 300 mètres de l'église, qu'ils ont aperçut les portes souvrirent puis là plus rien! Une grosse explosion a séparé les troupes, laissant un cratère de 15 mètres de diamètre environ... Le temps de reprendre leur esprit ils étaient déjà attaqué par les rebelles, apparentement étant séparé, ils n'ont pas pus rétablir la force nécessaire pour les abattre et les quelques survivants ont pris la fuite pour sauver leurs peau...
Bonne lecture :
2125.
21 Mars.
22h49.
Première offensive de l'armée Azurienne. L'attaque a eu lieu après les déclarations du chancelier John Carlton, il y'a environ une semaine. Sa déclaration a créée nombre d'émeutes dans la ville. Aphasia n'est plus que ruine et délabrement. Les rebelles ont tous dévasté. Après environ trois ans de complots ils ont finis par passer à l'action. Leur armement était puissant et personne ne sait d'où ils sortent cette arsenal... Des bruits cours que les forces de l'ordre seraient de mèche pour faire sauter le gouvernement et faire plonger la 19e république. Celle en quoi nous avons peut être crus apercevoir un semblant de paix, de sérénité, que la guerre se termine... Aucun résultat... on dit que l'histoire se répété toujours deux fois. Je pense que maintenant on peut compter les guerres par dizaines de milliers pour environ cent ans...
Jusqu'à la fin des prochains événements j'écrirai. Il faut que l'histoire sache, que l'on garde une trace de ce qui a déchiré le continent Mordahk, ex continent Eurasiatique engloutie par le fonte des glaces jusqu'à la Croatie. Ou du moins ce qu'il en reste... J'écrirai mon journal et tiendrai a jour ses informations.
Je m'appelle Adrien Hutner. Née lors de la guerre d'indépendance de l'ancienne Slovénie il y a 17ans, j'appartiens à la famille des Hutners. Mon père, Générale de l'escadron des forges de l'armé Azurienne commande un escadron de 15 Mechas. Une sorte de robot humanoïde de 10m 75 pesant environ 75 tonnes créé par le gouvernement pour protéger le peuple en cas d'attaque des rebelles. Ma mère et ma sœur étant bloquées dans les dédales usées des bâtiments de l'armées, prient tous les jours notre seigneur...
Bloqué dans cette base militaire depuis le début des émeutes, je tourne en rond en voyant ce qui se passe à l’extérieure de ces murs. Le ravitaillement en nourriture, eau potable, armement et loisirs, a du mal à s'acheminer jusqu'aux bâtiments. Les rebelles ont intercepter deux de nos cargaisons sur le convois de six camions qui venaient de la base de Shalre. Et comme si une pénurie de nourriture n'était pas suffisant, deux des dix-neuf générateurs de la base ont explosés mettant sous silence le quartier des recherches technologiques ainsi que le dortoir des soldats. Les ingénieurs disent qu'il ne sera pas réparé avant l'arriver du matérielle. Autant dire que le soir, les bougies sont de mises...
Qu'est ce que je fais la? Je ne sais pas trop... J'étudiais la biométrie en physique quantique avant que tous ne se déclencha. Mon père nous a rapatriés pour nous protéger des mouvements extrémistes et nous a dit que dans peu de temps, des affrontements se feront ressentir. Je crois que c'est aujourd'hui. Nuit et jour, nous entendons des bruits de mitrailles, de laser, d'explosions, de cris déchirants les silences, des cris d'hommes affrontant les morts, touchant la douleurs de si près que leur agonis en est indescriptible. Ces cris, ceux qui font froid dans le dos, ceux qui peuvent appartenir à un proche, ami, famille, inconnus, nul ne peut le savoir... Tous c'était calmé deux jours auparavant, mais apparentement les rebelles aurait l'intention de faire sauter le consulat et de capturer les embassadeurs encore présents situés dans la base Est d'Aphasia. J'ai croisé le sergent Soliof, très pressé, qui m'a expliqué que les troupes avait était envoyées pour déjouer les plans des rebelles. Un petit effectif pour une mission en toute discretion: 100 soldats 5 Troteurs, 2 Chars à Plasmas et 4 DCA mobiles.
Je n'ai pas réussi à lui soutirer plus d'informations, car étant attendu à l'Etat major il a fini par partir avec la navette. Il m'a dit que ça n'avait pas était un tel merdier depuis la découverte des Atiliens en 2085 dans les mers du pacifique... Il n'a pas totalement tord. Connaissant la race humaine, le fait de savoir qu'une autre espèce intelligente vivant dans les profondeurs sous marines du pacifique depuis des milliards d'années, étudiant le moindre fait et geste humain, la moindre parcelle de science, même le plus petit soupçon de l'anatomie humain, la culture, les habitudes, les évolution qu'elle a put subir, a créé un certain nombre de conflits politiques, créant de nombreux massacres majoritairement Humains . Les Atiliens connaissaient notre armement mieux que nous même, ainsi que le moindre de nos défaut. Pendant 9 mois ce fut une guerre atroce, ou plutôt un génocide qui se terra par une période de froid de 2 ans, puis d'un accord permettant la paix et l'entente entre les deux peuples. Depuis nous bénéficions d'une aide intellectuelle, technologique et politique considérable. De nombreux événements se sont déroulés au fils des années mettant en cause les Atiliens comme étant la source de problèmes actuelles. Les rebelles refusent de les accepter comme Terriens et cherchent l'expulsions voir l'éradication par la violence... Ayant passé un accord de paix, nous devons protection au Atiliens. Même si ils pouvaient se défendre seul et rétablir l'ordre, ils préfèrent ne pas s’immiscer dans notre politique et agir en cas de nécessite extrême. Pour l'instant, l'Etat major gère la situation comme il le peut, mais on sent que c'est vraiment l’anarchie dehors et qu'il n'arrive pas à gérer tout en même temps. D'après les informateurs que l'armé a pus récupérer, nous savons que les rebelles se sont disséminés dans toute la ville en petit camp souterrain et dans certain bâtiment protéger. Mais personne n'a pu les localiser et les informations coûtes de plus en plus chère en nos temps.
Ces événements me foutes la trouille. J'ai peur... Peur pour ma famille, peur pour moi et de ce qui pourrait m'arriver même derrière ces murs, peur pour mes proches de l'autre côté, peur de l'avenir... Mais que voulez-vous, nous ne sommes maître de rien qu'en au hasard... Quoi qu'il arrive, je devrais rester saint de corps et d’esprit, si ce n'est pas pour moi, au moins pour mon entourage. On est tous dans la même merde et si on ne soutiens pas, c'est la fin de nos minables existences...
Hutner Adrien
00h35
22 Mars
21h00
Aujourd'hui, une fois de plus, ma journée fut vide. Ce vide qui montre que ce n'est pas seulement extérieur mais bien plus profond encore. A part avoir mangé seul, avoir marché dans les jardins synthétiques, traînant mon ombre dans le seul coin aménagé pour la détente des habitants, néant. Pas de visage famillié, et quand c'est le cas, je n'existe pas. J'ai pris un peu de mon temps libre qui est assez conséquent, pour relire mes cours de biochimies pour ne pas perdre la main et surtout pour m'occuper l'esprit...
Depuis le début je suis le seul à ne rien faire et à tourner en rond dans la base... Le fait de rester seul m’incite à réfléchir, à m'inquiéter, à m’angoisser des événements passés et avenir. Je m'en veux de me sentir inutile, je croise des gens pressés et occupés, qui n'ont pas le temps de m'expliquer ce qu'il se passe ou ce qu'ils font... Même ma mère qui s'occupe des réparations du matériel de défense et de la mécanique des véhicules de transport et d'assaut, marchait à droite, à gauche, les cheveux dans tous les sens, le visage noirci par le cambouis, et n'a même pas pris la peine de faire attention à moi... Et plus les jours passe, plus je trouve ça long... Sachant que je ne vois quasiment personne de ma famille, d'amis, du moins pour parler un peu, se changer les esprits...
Je ne vois que des fonctionnaires, des gens du peuple, des inconnus qui eux non plus ne prêtes guère attention à ma personne... De plus étant dans le dortoirs des soldats, le générateur n'est toujours pas réparer et à l'heure qu'il est cette ambiance commence à me peser fortement... Imaginez, une pièce de 12 mètres carrés avec au fond de celle si, un lit à ressort sur lequel est disposé un matelas usé par la vieillerie. Rajoutez ensuite une armoire métallique rouillée à gauche de l'entré et à droite, un bureau en bois à coté duquel est situé une chaise en acier vert très inconfortable. Mettez y des tuyaux couleurs bronze un peu humides dépassant du plafond et des murs dont la peinture écaillé par cette humidité reflète la cellule d'un prisonnier. Plongez tous ça dans le noir, puis allumez une légère lumière rouge émie part l’ampoule d'alerte en cas d'urgence, pour éclairer autant que possible le temps de trouver une solution pour le générateur. Puis observez une lumière jaunâtre d'une bougie protégé entre quatre verres, virevoltante sous le souffle de mon corps, seul, assis là, un peu perdu par tous ça... et quand on sort, un très long couloirs qui s'étend sur 200 mètres et sur 3 étages longe les dortoirs, tous aussi identiques les uns que les autres. Vous avez une bonne description de l'ensemble des dortoirs des membres de la chaire à canon.
Quelques uns comme moi, n'étant pas soldats, se sont retrouver ici car les dortoirs dans le quartier civile sont totalement complets. Et avec les quelques pertes dut au début des représailles contre les Rebelles, certains dortoirs se sont libérer au détriment du sort de ces pauvres soldats envoyés au charbon... et se dire que je dors là où un parfait inconnu à verser le sang pour une cause qu'il ne comprend pas lui même me file la nausée! Ces hommes ont le courages d’exécuter avec bravoure leur devoirs de soldats, encaissant la peur et passant les objectifs avant leur propre survie...
Quelque part je trouve ça admirable! Mais je me demande vraiment comment peuvent t-il gérer leur mal être au sein de la base avec le stress et l'adrénaline du combat... Car ici, quand ils ne sont pas en mission, ces hommes ne sont que l'ombre d'eux même, attendant les instructions, là dans leur loge de premier choix, jouant au carte, au poker, au crabse. Quand on les regarde, on peut voir leur visage mal rasé, leur cheveux assez sales, le regard noir... Généralement ce sont des personnes qui se sont engagées car elle n'avait plus rien à perdre, famille, amis, logement... Des jeunes de 20 ans
23 Mars.
17h03
Les ravitaillements ne semblent toujours pas arriver... L'eau de source commence à diminué dangereusement et les quelques quatre mille personnes réfugiées dans la base vont bientôt en être privé... Heureusement qu'il nous reste encore l'eau du fond de l'ancienne déchetterie désaffecter, cette eau n'est pas potable mais elle sert pour les systèmes de douches, de toilettes, pour la vaisselles, sans ça, la base deviendrait la même décheterie que celle dont elle tire son eau...
D’ailleurs à ce sujet, j'ai mangé avec Prado, mon ami d'enfance qui s'est engagé comme chaire à canon pour le gouvernement. Il en faut c'est sur, dommage que lui se soit porté volontaire... Bref lors de son arrivé à la table, il tenait dans ses mains, tant bien que mal, un espèce de mini baril en plastique de 10 littres qui avait l'air de contenir de l'eau. Curieux je me suis renseigné sur ce centenaire remplie de liquide, ça réponse fu rapide claire et efficace: "je ne veux pas mourir de soif pardis!". Pensant qu'il l'avait pris dans la réserve, j'étais un peu surpris de le voir voler de l'eau sans autorisation, mais il m'expliqua que ce n'est pas de l'eau potable, cette barrique va partir dans les cuisines pour faire bouillir les 10 litres d'eau. Même si en faisant chauffer l'eau très fort, toute les bactéries ne partiraient pas, mais au moins cela ferait disparaître les plus dangereuses, et nous faira tenir le temps que les chargements arrives.
En discutant il m'a appris que Marta Sprenger, qui était étudiante au lycée avec nous au lycée St-Bartélemy est actuellement dans la base comme secrétaire. Un comble pour quelqu'un qui n'aimait pas le rangement... d’ailleurs en marchand vite elle a trébuché et s'est étalé de tout son long sur le sol renversant tout les dossiers présents dans ses bras et attérissant à ses pieds... C'est comme ça que Prado m'a décrit les retrouvailles avec Marta. Plutôt amusante comme retrouvaille. D'ailleurs il m'a expliqué qu'elle est passée à la limite de la sanction devant la cours martiale dés son premier jours de boulot, fournissant des dossiers non complets et dont les documents perdus étaient top secret... Apparemment elle n'a pas changer d'un pouce, toujours tête en l'air! J'espère que cela ne lui portera pas préjudice par la suite...J'aimerais bien la revoir...
On était une belle bande de jeunes, elle, Prado, Nicko, Eli et moi, vous savez, ce genre de bande soudée où on se sert les coudes, cette dream team toujours prête à faire les quatre cents coups... Mes plus belles années... Je me demande ce que sont devenus Elianne et Nickolas? Ils ont toujours été un peu en marge du système et du jour au lendemain, ont disparus de la surface du globe sans laisser de trace. Aucun mot, aucune lettre d'adieu, rien. De toute façon je ne m'en fait pas pour eux, je sais qu'ils sont à même de se débrouiller dans quelques situations que ce soit... Je me souviens d'une fois où l'on été partis en camping dans l'arrière pays polonais, la où il reste quelques parcelles de terre qui n'ont pas été touchées par la guerre et dont le cadre était fulgurant! Sur un domaine rocheux surplombant la gigantesque forêt de sécoyats d'Hêtres et de Sapins, où des oiseaux et des animaux intrigués par notre présence se cachés, nous avions installé notre campement. Pendant que Prado et moi avions tenté tant bien que mal de planter notre tente, Eli avait déjà fini l’installation, était partis chercher du bois pendant que Nicko était partie poser les pièges pour pouvoirs se nourrir... En y repensant nous avions l'aire bête avec notre tente cloué de travers! On c'est toujours demander Prado et moi où avait-il apprit toute ces choses et surtout, pourquoi il n'ont jamais voulu qu'on ramène de la nourriture de chez nous... Aucune réponse claire de leurs part fut donnée, juste un "Nos parents nous faisaient faire du camping depuis tout petit". Je n'ai jamais compris pourquoi les parents leur "faisaient faire", n'étaient ils pas avec eux pour faire ça? J'avoue que je n'ai jamais osé leurs demander par respect pour leurs secret. Car eux deux était plus complices qu'avec nous, mais cela empêché en rien d'être très bon amis.
Toujours est-il que ils s'en sortiront, même si ce petit doute, "et si?", m'oblige à penser qu'ils seraient plus en sécurité entre ces murs gris, sur-bétonné et surprotégé. De toute façon ce n'est plus de mon ressort. Et puis les connaissant, ils n'auraient jamais supportés cette endroit, cloître, enfermé entre quatre murs grisâtres noircis par la pollution permanente qui émane des machines, le bruit, le va et viens permanent des soldats, des scientifiques, des hauts fonctionnaires, où encore des gens du peuple ayant était recueillit...
Oppressant tout ça! Il est vrai que lors de la construction de la base, il n'avait pas pris en compte le cadre qui pourrait être plus agrèable, la déco est minimaliste, le tout dans une sombreté à en toucher le moral de la population intèrieure. Le visage de ceux que l'on croise sont mauroses, sombre, le taint grave et pour certains aillant subit les malheurs des évènements, le visage pâle et le regard vide..
27 Mars.
14h30
Hier rien de notable. Les troupes se sont déplacées comme prévus en 10 aines de petites escouades se repartissants sur les différentes places et les différents quartiers de la ville. Il se sont installés en point stratégiques de renseignement. Il parraitrait que des civiles logent encore dans les ruines Centre et Est. Ils n'ont vouluent aucune aide et préfère rester chez eux. Leur âme ont vécue et restera à jamais dans ces lieux. Qu'importe, les soldats on fait leur boulot. Nous n'avons rien à leur reprocher.
Des mouvements ont étés apèrçus près de l'eglise St-Morianne située au centre Ouest de la ville, entre le quartier des affaires et l'observatoire. Deux des dix escouades se sont déplacer mais n'ont rien trouvées... Pourtant d'après les renseignements qu'ont ramené les drônes de reconnaissancent, le coin a l'air de cacher quelque chose mais pour l'instant rien d'apparrent. Ou alors l'Etat Major nous cache la vérité... Bref dans tout les cas pour une offensive, tout a l'aire de se passer comme prévu.
"Elle"... Qu'est-elle devenue? De l'autre côté de ces murs, happé par les mouvements de foules, le SPPCR (Service de Protection des Personnes Contres les Rebelles) n'a pas eu le temps de la récupérer... En dix minutes ils avaient perdu sa trace et ont préférés retourner au QG plutôt que d'affronter la masse humaine compacte qui mouvait dans tout les sens complètement désorienté par les attentats. Aucune nouvelle depuis. Est-elle vivante? Où est-elle? A-t-elle trouvé de l'aide? Seul dieu sait si elle va bien. L’inquiétude me gagne et me ronge, car les certitudes sont absentes et que les preuves manques... Alors je reste dans le doute et attend. De toute façon, pour l'instant, je ne peux pas faire grand chose, si ce n'est patienter. Alors je patienterai...
Hier soir en me promenant, j'ai croisé ma sœur, engagé à l'arrivé dans la base pour ses talents d’informaticienne. Les Atiliens qui travailles au secteur informatique ont eu vent de ses capacités et ont besoins de personnes ayant l’intelligence nécessaire à leur besoins. Apparemment elle n'a pas eu le temps de s'ennuyer pendant que moi je tournais en rond. Mais apparemment elle m'aurait trouvé du boulot! Lorsque les deux générateurs sont tombés en pannes, le système a déréglé les accès à protections renforcés, et ma sœur et moi sommes chargés de tout remettre en ordre. Elle, doit s'occuper de récupérer tout les codes d’accès perdus et des les modifier, et moi j'ai pour missions de chiffrer ces codes et rétablir toute les donnés des personnes ayant des accès réservés afin de restaurer toutes les reconnaissances digitales et rétiniennes. Rien que ça! Apparemment je commence demain. Donc je ne vais plus avoir le temps de m'ennuyer...
Enfin tout ça est terminé!
A l’extérieur de ma loge, il y a l'air d'avoir du mouvement... je ne sais pas trop ce qui ce passe mais les gens cours et parle fort... je vais jeter un coup d'oeil!
15h12
Même jour.
19h02.
Les supérieurs sont devenus fou, nos deux escouades partis en éclaireurs près de l'église St-Morianne ont été quasi entièrement décimées, Sur 20 soldats et 1 trotteur, il ne reste plus que 5 survivants dont 2 sont blessés gravement, l'un a été perforé à l'abdomen et l'autre a reçu un éclat de grenade dans la jambe droite. Les médecins se sont empressés de les soigner pendant que les supérieurs tenter de récolter les informations sur ce qu'il avait bien pus se passé. En effet, l'Etat major était en contacte permanent jusqu'à ce qu'une explosion coupa déffinitivement toute liaison avec les deux troupes. Je n'ai pas pu assister a l’interne mais j'ai attraper le sergent chargé de les interroger, il m'a expliqué que les deux troupes étaient réunis à 300 mètres de l'église, qu'ils ont aperçut les portes souvrirent puis là plus rien! Une grosse explosion a séparé les troupes, laissant un cratère de 15 mètres de diamètre environ... Le temps de reprendre leur esprit ils étaient déjà attaqué par les rebelles, apparentement étant séparé, ils n'ont pas pus rétablir la force nécessaire pour les abattre et les quelques survivants ont pris la fuite pour sauver leurs peau...
- InvitéInvitéVieux de la vieille / Vieille du VieuxTu es inscrit(e) depuis au moins 1 an sur le forum !
Re: Le Journal d'Adrien Hutner
Mer 24 Oct 2018 - 12:16
Quelle bonne idée de s'inspirer de ses rêves ! Il fut un temps où je voulais écrire au réveil chacun de mes rêves, surtout que certains auraient pu faire de bons films ou avaient de jolis décors mais bon apparemment ça fait un moment que j'oublie les rêves.. Je remonte ton topic, des avis pour ce bon texte écrit par Sylasius ?
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